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dimanche 7 août 2016

Les guérisseurs de Québec

J'ai déjà été trois fois en état d'urgence pour cause d'infection ou maladie, la première fois c'est il y a plusieurs années lors d'une randonnée en forêt, j'avais alors plusieurs ampoules aux pieds et certaine saignait, un de mes pieds est devenue enflée, j'ai alors essayé un remède inspiré d'un remède appelé anada(ou annadda) développé par les amérindiens(probablement par les Micmacs), remède dont Jacques Cartier pris connaissance des Amérindiens durant l'hivers lors de son deuxième voyage au Canada(1535-1536), il était alors installé près de la rivière Saint-Charles(anciennement sainte-Croix) a Québec, ce remède guérit et sauva sont équipage(110 personnes au début) qui avait perdu 25 personnes a cause du scorbut;
selon un livre que j'avais en partie lu, une des versions de la recette qui est donné par l'historien Jacques Mathieu est constitué d'une infusion de branches d'épinette blanche dans l'eau chaude, selon d'autre version il s'agirait plutôt du cèdre(avec aussi une infusion de son écorce en plus des épines) ou du pin, moi j'ai essayé la recette donné par Jacques Mathieu, je croyais alors avoir essayé l'épinette blanche, mais maintenant je crois que c'est plutôt les branches d'épinette noir que j'ai infusé dans l'eau chaude, quoi qu'il en soit j'ai guérit mon infection.
Hélas la tribu amérindienne dans la région de Québec qui a contribué a sauvé une bonne partie de l'équipage de Jacques Cartier semble avoir disparu ou presque, j'ai toujours été émerveillé par cette histoire, comme j'ai toujours admiré les amérindiens, pas étonnant que j'ai toujours fait des randonnées en forêt plusieurs fois chaque année depuis que je peut marché ou presque.
Il semble que les Amérindiens de l'Amérique du Nord seraient venue de la Mongolie.

La deuxième fois que j'ai été infecté gravement c'était lors de la saison de récolte de 2013, j'avais alors une infection dentaire a la mâchoire et une plaie, l'enflure était très importante, j'ai réussis a me guérir grâce a mon savon en shampoing (qui contient toute sa glycérine) que je fabrique depuis un peu avant l'an 2000, j'ai réussis a me guérir avec mon savon(et une brosse a dent) dont j'ai découvert ses vertus thérapeutique.

La troisième fois que j'ai été dans un état grave ou urgente, c'était lors de la saison de récolte de 2015, soit environ deux ans après l'infection dentaire que j'ai guérit par moi même, j'ai continué a travaillé mais j'avais pu terminé ma saison tôt, puis je voulais attendre encore un peu avant d'aller a l'hôpital, cependant certaine personne ont insisté et j'ai du me résigné a aller a l'hôpital, j'ai été alors hospitalisé environ deux semaines, le personnel médical ont trouvé immédiatement le problème que j'avais, on été courtois et je me rétablissait rapidement, après ma sortie de l'hôpital, j'ai été en congé maladie pendant deux semaines.
Durant l'hivers j'ai pu faire du déneigement pour les trottoirs et les toits, au début cela était difficile mais a la fin de l'hivers je pouvais marché normalement sans fatigue, je perçoit une différence seulement lorsque je monte les escaliers.
C'était ma prostate qui avait beaucoup enflé, avait bloqué la sortie de ma vessie, ce qui avait fait enflé ma vessie, cela avait amené un problème de constipation, puis un problème de rein qui a amené une enflure des jambes, en fait mes problèmes devenaient de plus en plus généralisé, en vidant ma vessie a l'hôpital, on venait alors de régler le principal problème urgent.
Une médication approprié et une bonne alimentation, avec de bonne nuit de sommeil m'a aidé a me guérir, toutefois  la courtoisie y est pour beaucoup j'en suis certain et cela fait partie des dons des guérisseurs.

Cela fait presque un an que j'ai sortie de l'hôpital et cette article est un hommage et une reconnaissance de la contribution de tous les guérisseurs, je suis très content de constater que même si une tribu amérindienne n'est plus dans la région de Québec, leur talent de guérisseur continue de se perpétuer dans la même région.

Avenir et pression futur sur les équipes médicales.
Avec la pollution de l'air, de l'océan et de l'eau douce puis de la terre, ont peu supposé que l'avenir sera de plus en plus exigeante sur les équipes médicales qui recevront de plus en plus de malade, une façon de diminuer le nombre de malade est certainement d'essayer de purifier la qualité de notre environnement, cela sera de plus en plus nécessaire.

Référence:
Aneda

Jacques Cartier

Édition du 2 octobre 2021

L'article du 2 octobre dans le lien suivant